Barbie Existe Vraiment, Je LAi Rencontrée.
Sûr que quand, après quelques mots échangés à ce cocktail sur la plage de Bélisaire, elle ma demandé mon nom ... jai hésité avant de lui dire, moi cest Ken.
Mais Dieu que je bandais en matant ses yeux bleus presque turquoise. Étonnant comme couleur des yeux peut avoir effet sur la bite des mecs. Enfin sur la mienne... En toute modestie.
Son slip blanc de maillot était marqué de camel toe sous pubis charnu. Elle avait non seulement taillé et rasé sa touffe en intégral mais encore décousu et viré le gousset pour mieux que soit dessinée sa vulve et les grandes lèvres encadrant le papillon ouvert de son offrande.
Elle était sympa, vraiment très sympa, cette fille.
Enfin, moi je trouvais. Et manifestement je nétais pas le seul à penser ainsi. Tous les mecs du cocktail étaient là autour de la donzelle, avec moi, à baver sans retenue aucune leur libido exacerbée.
La fille on sentait bien quelle était partante. Cétait pas une fille qui chauffe les garçons et qui, après, fait sa timide. Non, on voyait bien que cette fille-là navait pas froid aux yeux non plus quailleurs, manifestement.
On sentait bien que ses bras étaient longs et quelle avait capacité à embrasser tous ces prétendants et même plus encore, si par bonheur un prompt renfort venait rejoindre le gros des troupes.
On sentait bien que ses hanches larges sélargiraient encore pour accueillir entre ses cuisses ouvertes et ses jambes haut levées tout lamour que nous avions, nous les garçons, à lui donner.
On a filé en douce, après sêtre abreuvé dun verre dentre-deux-mers, en groupe serré autour delle comme pour la protéger, jusquà la plage dite des Américains. Au Cap Ferret tout le monde connaît la plage des Américains.
Là tous on a voulu goûter leau chaude de juillet au descendant, eau chargée de varech, dalgues vertes et sombre des infusions de sa stagnation dans le bassin toute laprès midi durant à létal de la marée.
Tous garçons on était nus et quelques filles égarées avec nous aussi. Lodeur, lépaisseur de leau salée était comme bain moussant de spa de salon parisien exotique oriental ou même extrêmement oriental.
Mais fi de petite Thaïlandaise à la vulve fine et au vagin étroit, cétait ici une fille de chez nous chaleureuse, aux chairs fermes et ouvertes, qui nous accueillait entre ses bras, nous tous, tant que nous étions. Et plus encore, même.
Barbie avait tombé son bikini de poupée. Ses yeux turquoise nous faisaient tous bander et chacun a voulu la prendre dans ses bras et communier dun bitos très raide à plein fond de ses villosités onctueuses. Les hoquets de nos giclées la contentait et on le sentait bien aux contractions multiples de son ventre sur notre engin inquisiteur qui nétait pourtant quen simple visite.
Après les accouplements aquatiques, elle a voulu doubler avec chacun dentre nous sur la plage. Fesses au sable, bassin haut en attente. Son cur était trempé des multiples offrandes précédentes et nous trouvions simplement, nous, quelle était accueillante, diablement accueillante.
Quand elle a changé de position, la tête enfouie dans un énorme paquet de varech sec sur le sable et les fesses haut levées cambrées ouvertes, on a tous pensé, non ce ne sera pas possible une fois encore.
Tripler nest pas habitude chez nous, Bordelais.
Mais linvite était de celle que lon ne peut refuser.
Sa craque profonde toute lisse sans un poil, pas un, dans la raie fessière, était irrésistible et pas un de nous na résisté.
Les mains à ses hanches, chacun de nous a lutiné cette croupe ouverte, luisante de ses propres sécrétions de femelle mais surtout inondée des décharges lourdes des gars qui sy étaient succédés.
Barbie, je tai rencontrée, et jen suis bien aise.
Et même, si cest possible, jy reviendrai.
Encore et encore
Encore et toujours.
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